Un club, pourquoi ? : Différence entre versions
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Les '''senior entreprises''' : comment les évaluer, les aider à se créer, les protéger (''et nous protéger nous-mêmes qui en sommes les acteurs à notre main''), en tirer parti, les imposer et les pérenniser, pour nos ayant droit, les jeunes en formation ou création, le développement commun et la recherche participative. D'autant que par notre expérience, nos idées, nos besoins et nos capacités à les gérer, elles seront sans doute dans le peloton de tête de la cobotique domestique, pratique et ... mentale. | Les '''senior entreprises''' : comment les évaluer, les aider à se créer, les protéger (''et nous protéger nous-mêmes qui en sommes les acteurs à notre main''), en tirer parti, les imposer et les pérenniser, pour nos ayant droit, les jeunes en formation ou création, le développement commun et la recherche participative. D'autant que par notre expérience, nos idées, nos besoins et nos capacités à les gérer, elles seront sans doute dans le peloton de tête de la cobotique domestique, pratique et ... mentale. | ||
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Version du 26 juillet 2019 à 17:17
Il faut nous y résoudre, nous sommes des séniors du XXIème. Et c'est quelque chose de nouveau [1], auquel nous allons devoir non seulement nous accoutumer, mais aider à sotir.
En fait, nous avons besoin de notre entraide pour inventer comment nous en sortir ! Et cela tombe bien car le problème est justement que nous en sommes capables ! Ce qui n'était pas prévu, puisque nous en serons, ou sommes, le premier marché ou presque [2].
Le problème est celui de la retraite : elle est devenue un revenu citoyen que le citoyen s'est ménagé, et non plus nécessairement une fin d'activité. La société, l'économie, la vie citoyenne sont certes demandeuse de nos contributions sociales gratuites de grands-parents et de bénévoles, mais elle n'est pas préparée, et donc ne sait pas bien comment traîter et recevoir nos contributions si elles continuent, pour diverses raisons non envisagées, et à leur manière, à s'inscrire dans le schéma productif dont ils nous pensaient sortis.
Les senior entreprises : comment les évaluer, les aider à se créer, les protéger (et nous protéger nous-mêmes qui en sommes les acteurs à notre main), en tirer parti, les imposer et les pérenniser, pour nos ayant droit, les jeunes en formation ou création, le développement commun et la recherche participative. D'autant que par notre expérience, nos idées, nos besoins et nos capacités à les gérer, elles seront sans doute dans le peloton de tête de la cobotique domestique, pratique et ... mentale.
En avenir sur le futur commun : les papypreneurs se doivent de faire dans l'innovation citoyenne.
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- ↑ nouveau, mais tout à fait logique : la durée de vie s'allongeant et la qualité de vie augmentant, et la tendance étant à l'avancement du départ à la retraite, il emerge un troisème âge qui s'insère avant le quatrième. Par ailleurs la "fin technologique de la mort" donne des idées pour un cinquième âge numérique, rentable aux héritiers et pérenne
- ↑ En fait tout cela a été pressenti par la loi : le mandat de protection future (2006), le mandat à effet posthume (2007), la fiducie (2007), l'adaptation de la société au vieillissement (2015/2016). Nous tirons parti des premières expériences et de leur support pratique et informatique.
