Un club, pourquoi ?
Il faut nous y résoudre, nous sommes des séniors du XXIe. C'est nouveau [1] : c'est en train de sortir !
Il va falloir nous y accoutumer, mais d'abord nous entraider pour nous inventer nous-mêmes ! Et cela tombe bien, car le problème est justement que nous en sommes capables ! Ce qui n'était pas prévu [2].
L'affaire vient de différents facteurs nouveaux à notre siècle : la pension de retraite, l'allongement de la durée vie et la nature de nos contributions, l'élévation du niveau intellectuel, le capax personnel et sociétal, la glocalisation, la loi, etc. et maintenant le déconfinement numérique après l'expérience des pré-fondateurs des besoins d'entraide pour y répondre.
Eh bien, oui ! Nous sommes toujours là ! En fait, selon (trois) auto-entreprises de "papy/mamy/papy-mamy/preneurs" (qui sont déjà implicites dans la loi) qui il nous faut mieux simplifier, affermir, optimiser et défendre.
En avenir sur le futur commun : les papypreneurs se doivent de faire de la résilience contributive !
L'idée de club est celle de réfléchir et d'agir ensemble pour nous le proposer entre nous-mêmes [3] car qui d'autre saurait nos besoins et aurait l'expérience nécessaire pour en conduire les réponses ?
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- ↑ nouveau, mais tout à fait logique : la durée de vie s'allongeant et la qualité de vie augmentant, la tendance étant à l'avancement du départ à la retraite, un troisième âge émerge qui s'insère avant la vieillesse. Par ailleurs la "fin technologique de la mort" donne des idées pour un cinquième âge numérique, potentiellement pérenne et rentable aux héritiers.
- ↑ En fait, cela a été pressenti et vient par la loi : le mandat de protection future (2006), le mandat à effet posthume (2007), la fiducie (2007) . Nous tirons parti des premières expériences (et jurisprudences) et de leur support pratique et informatique.
- ↑ bien entendu gratuitement : nous sommes entre-nous. Pas de -nième cotisation : juste de s'inscrire sur sa liste de discussion par mèls entre "Décati Dons y Doñas", holé ! .
