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depuis 1977 j'étais empétré dans une idée qui me paraisait simple : l''''augmentation numérique pour tous'''.  
 
depuis 1977 j'étais empétré dans une idée qui me paraisait simple : l''''augmentation numérique pour tous'''.  
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=== Facilitas Machinae ===
  
 
Le "'''plus humain'''" par le "'''plus machina'''", tout le monde interconnecté. L'informatique domestique au banal service de la vie des gens.
 
Le "'''plus humain'''" par le "'''plus machina'''", tout le monde interconnecté. L'informatique domestique au banal service de la vie des gens.

Version du 25 juillet 2019 à 08:56


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Chers amis séniors,

depuis 1977 j'étais empétré dans une idée qui me paraisait simple : l'augmentation numérique pour tous.


Facilitas Machinae

Le "plus humain" par le "plus machina", tout le monde interconnecté. L'informatique domestique au banal service de la vie des gens.

Pour ce faire nous avions, Robert Tréhin (il était le fondateur de la première computershop parisienne) et moi, engagé un projet - avec la technologie d'Irlandais américains (Groupe Tymshare/Crédit Lyonnais), les PTT, et de grands fournisseurs de services spécialisés - de "supertel" mondial.

Tout le monde avec son ordinateur en ligne (on disait alors "en temps-partagé", aujourd'hui on dit "cloud") ou même personnel [1], qui discute directement via le réseau avec les ordinateurs en temps partagé ou personnels de tout le monde, selon des formats applicatifs communs et donc compatibles entre eux.

On allait bientôt avoir sa banque chez soi !


Patatras, les Etats !

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  1. Bob Tréhin montrait, par les ventes de sa boutique qui n'était pas la seule, qu'il commençait à y en avoir !