Un club, pourquoi ? : Différence entre versions

Version du 21 septembre 2019 à 10:42

Il faut nous y résoudre, nous sommes des séniors du XXIe. C'est nouveau ^[1] : cela va sortir !

Il va falloir nous y accoutumer, mais d'abord nous entraider pour nous inventer nous-mêmes ! Et cela tombe bien, car le problème est justement que nous en sommes capables ! Ce qui n'était pas prévu ^[2].

L'affaire vient de la pension de retraite : elle est devenue un revenu citoyen pour notre "non-sénilité" ^[3], que nous nous sommes auto-ménagé ; qui ne réclame plus le préalable d'une euthanasie professionnelle ; et que les marchands perçoivent comme une "silver economy" devenant signifiante et que nous devrions utiliser à l'avantage de notre "silver power" de "cheveux-gris".

La société, l'économie, la vie citoyenne étaient certes demandeuses de nos contributions sociales gratuites de grands-parents et de bénévoles. Mais elles n'étaient pas préparées, et donc ne savent pas bien comment nous traiter et recevoir nos contributions, si celles-ci persistent, voire s'accroissent, pour diverses raisons et à leurs diverses manières, à s'inscrire dans le schéma productif dont elles nous pensaient sortis.

Eh bien, non ! Nous sommes toujours là ! En fait, selon (trois) auto-entreprises de "papy/mamy/papy-mamy/preneurs" (qui sont déjà implicites dans la loi) qui il nous faut mieux simplifier, affermir, optimiser et défendre.

D'expérience je les identifie comme :

• notre "livisaire" : lieu de vie (virtuel) de santé (et savoir) à intégration de ressources externes. Disons, notre "maison de retraite augmentée à domicile". C'est-à-dire ce que l'on demande à un mandataire de protection future de co-gérer pour nous en cas de besoin. Et qui sera simple et sûr au dernier survivant.

• nos (chacun des époux peut en avoir une) senior entreprises : ce que l'on demande à un mandataire à effet posthume de régulariser ou de poursuivre, au mieux de ses héritiers.

Qu'est-ce que c'est, comment les évaluer, les aider à se créer, les protéger (et nous protéger nous-mêmes qui en sommes les acteurs à notre main), en tirer parti, les imposer et les pérenniser, pour nos ayant droit, les jeunes en en tutorat de formation ou en création alliée, le développement commun et la recherche participative.

D'autant que par notre expérience, nos idées, nos besoins et nos capacités à les gérer, elles seront sans doute dans le peloton de tête de la cobotique domestique, pratique et ... mentale.

En avenir sur le futur commun : les papypreneurs se doivent de faire de la résilience contributive !

Ce club vous le propose ^[4].

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