Gratuité : Différence entre versions

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L'expérience du déploiement initial du réseau diginumérique mondial a fait appel à une personne morale de coût infime par rapport aux coûts, investissements et frais impliqué et fonctionnant par e-mail et mise à disposition de fichiers de données de référence. La solution a été celle d'une association 1901 sans compte en banque et à deux membres. Cette association (INTLNET) est toujours active et a ouvert un compte en banque qu'elle n'a jamais utilisé, pour pouvoir être reconnue par l'ICANN (société californienne  sans membre - en [[main morte]] - gérant le nommage internet).
 
L'expérience du déploiement initial du réseau diginumérique mondial a fait appel à une personne morale de coût infime par rapport aux coûts, investissements et frais impliqué et fonctionnant par e-mail et mise à disposition de fichiers de données de référence. La solution a été celle d'une association 1901 sans compte en banque et à deux membres. Cette association (INTLNET) est toujours active et a ouvert un compte en banque qu'elle n'a jamais utilisé, pour pouvoir être reconnue par l'ICANN (société californienne  sans membre - en [[main morte]] - gérant le nommage internet).
  
L'expérience a cependant montré que la formule associative française souffrait de son coût administratif irréductible (surtout en terme de "cerveau-d'oeuvre") et d'unité de gestion pérenne ; et si l'association "sans-membre" et "sans cotisation" comme INTLNET a pu mener beaucoup de choses, sont absence de compte en banque la limite beaucoup. La formule que va réclamer l'internet des objet d'un "utilitariat" pour la syndication des ressources multimatiques partagées, trouve sa limite dans l'utilisation ouverte. Il semble que le formule adéquate soit le multitudinariat (nombre illimité de co-utilisateurs associés, organisés probablement en SASU) ayant leur rentabilité financière propre au pro-rata des services fournis et surtout de la gestion commerciale du primauteur de ce site.  
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L'expérience a cependant montré que la formule associative française souffrait de son coût administratif irréductible (surtout en terme de "cerveau-d'oeuvre") et d'unité de gestion pérenne ; et si l'association "sans-membre" et "sans cotisation" comme INTLNET a pu mener beaucoup de choses, sont absence de compte en banque la limite beaucoup pour sa cybernité pérenne. La formule que va réclamer l'internet des objet d'un "utilitariat" pour la syndication des ressources multimatiques partagées, trouve sa limite dans l'utilisation ouverte. Il semble que le formule adéquate soit le multitudinariat (nombre illimité de co-utilisateurs associés, organisés probablement en SASU) ayant leur rentabilité financière propre au pro-rata des services fournis et surtout de la gestion commerciale du primauteur de ce site.  
 
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Version du 21 septembre 2019 à 10:57


Le sujet de la gratuité des choses en ligne reviendra sans doute souvent dans nos préoccupations, surtout dans ce qui, pour l'instant relève du cyclique des abonnements et cotisations (services, associations).

Ce qui est payé par les petits payements cycliques se sont essentiellement trois choses :

  • les frais fixes : locaux (dont nous n'avons guère besoin pour des activités en ligne), hébergement cloud, royalties logicielles (que le recours au Libre doit réduire), nom de domaine (dont nous pouvons réduire le coût).
  • les salaires : de collaborateurs, dont nous aurons sans doute peu besoin dans un contexte de contributions.
  • les coûts de fonctionnement et de collecte de structures dont le seul propos est de disposer d'une personne morale et de pouvoir collecter ces payements cycliques.

L'expérience du déploiement initial du réseau diginumérique mondial a fait appel à une personne morale de coût infime par rapport aux coûts, investissements et frais impliqué et fonctionnant par e-mail et mise à disposition de fichiers de données de référence. La solution a été celle d'une association 1901 sans compte en banque et à deux membres. Cette association (INTLNET) est toujours active et a ouvert un compte en banque qu'elle n'a jamais utilisé, pour pouvoir être reconnue par l'ICANN (société californienne sans membre - en main morte - gérant le nommage internet).

L'expérience a cependant montré que la formule associative française souffrait de son coût administratif irréductible (surtout en terme de "cerveau-d'oeuvre") et d'unité de gestion pérenne ; et si l'association "sans-membre" et "sans cotisation" comme INTLNET a pu mener beaucoup de choses, sont absence de compte en banque la limite beaucoup pour sa cybernité pérenne. La formule que va réclamer l'internet des objet d'un "utilitariat" pour la syndication des ressources multimatiques partagées, trouve sa limite dans l'utilisation ouverte. Il semble que le formule adéquate soit le multitudinariat (nombre illimité de co-utilisateurs associés, organisés probablement en SASU) ayant leur rentabilité financière propre au pro-rata des services fournis et surtout de la gestion commerciale du primauteur de ce site.